Occurences de l'expression

pare

pour SAURIN, Bernard-Joseph

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L'ANGLOMANE (1763)

Ami d'Éraste, et son parent ; v.38 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
L'amitié d'un parent. Qui s'y serait fié ? v.46 (Acte 1, scène 1, FINETTE)
Habite une mienne parente v.75 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
Senti trouble pareil. v.458 (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
Qu'un sage, en matière pareille... v.580 (Acte 1, scène 12, DAMIS)
Oui, c'est par vos pareils, par vous (je le maintiens) v.724 (Acte 1, scène 14, LISIMON)

AMÉNOPHIS (1758)

Mais, Madame, il n'est plus, quelle horreur se prépare, v.159 (Acte 1, scène 2, RAMESSES)
Et Palmis peut penser que d'un pareil affront v.217 (Acte 1, scène 4, NEPHTÉ)
Je ne sépare plus que ses crimes de moi. v.528 (Acte 2, scène 3, ARTHÉSIS)
Tu vois l'affreux destin qui pour moi se prépare, v.634 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Sors, te dis-je, d'erreur ; l'apparence t'abuse. v.654 (Acte 3, scène 5, AMÉNOPHIS)
Mon ennemi revit, une heureuse apparence v.770 (Acte 3, scène 7, SOSIS)
D'une vaine apparence il le faut éblouir, v.815 (Acte 4, scène 1, SOSIS)
Mais l'indignation s'empare de mon âme, v.906 (Acte 4, scène 6, AMÉNOPHIS)
Jeu cruel du Destin dont l'apparence impose. v.1014 (Acte 4, scène 7, ARTHÉSIS)
La mort nous rejoindra, si la mort nous sépare. v.1122 (Acte 4, scène 10, ARTHÉSIS)
Je ne veux point pour vous me parer d'un faux zèle? v.1129 (Acte 5, scène 1, RAMESSES)
De sa mort, cependant, l'appareil se prépare, v.1214 (Acte 5, scène 4, ARTHÉSIS)

BÉVERLEI (1821)

Tout peut encor se réparer. v.88 (Acte 1, scène 1, MADAME BÉVERLEI)
N'ai-je pas, dans l'espoir de réparer sa perte, v.181 (Acte 1, scène 3, STUKÉLI)
Conserve ses bijoux, en pare avec éclat v.506 (Acte 2, scène 3, STUKÉLI)
En a-t-on moins en pareil cas ? v.529 (Acte 2, scène 3, BÉVERLEI)
Dites que pour vous perdre il en prend l'apparence. v.612 (Acte 2, scène 6, LEUSON)
Il vous aima toujours, et veut tout réparer. v.917 (Acte 3, scène 7, BÉVERLEI)
Nous préparerons tout pour fêter ce grand jour. v.978 (Acte 3, scène 7, MADAME BÉVERLEI)
Sachez que Leuson se prépare ; v.1479 (Acte 5, scène 6, MADAME BÉVERLEI)
De mes sens quel tourment s'empare ! v.1481 (Acte 5, scène 6, BÉVERLEI)

LES MOEURS DU TEMPS (1764)

Il faut voir de quel air il demande pardon des incongruités de son petit parent de province ; car c'est ainsi qu'il vous nomme ! (Acte 1, scène 1, CIDALISE)
Mon petit parent, il me semble que tes affaires ne vont pas mal ? (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Apprends donc, une fois pour toutes, mon petit parent de province, apprends donc les usages de ce pays-ci. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Je t'avertis pourtant, en bon parent, que ce n'est pas là le moyen de réussir, surtout auprès de la Comtesse. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Il n'est apparemment qu'à l'usage des grandes dames. (Acte 1, scène 14, FINETTE)
Pour qui voudrais-je me parer ? (Acte 1, scène 15, JULIE)
Joignez-y le ridicule de traiter Géronte de petit bourgeois, comme si elle n'était plus la parente de son frère, et ses vapeurs de commande, que ce benêt de frère prend pour bonnes ! (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)

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LE MARIAGE DE JULIE (1802)

C'est que tout d'un coup madame pleure comme si elle avait perdu tous ses parents, et on ne sait pas pourquoi... (Acte 1, scène 1, AGATHE)
Non, mon frère : s'il était question d'un pareil sujet, je ne m'en mêlerais pas : celui dont il s'agit, c'est le Marquis de Saint-Bon que vous avez vu ici avec madame sa mère : vous savez qu'il est généralement estimé, que sa façon de penser est au-dessus de sa naissance, qu'il regarde celle-ci comme un avantage dont on ne se prévaut qu'au défaut du mérite personnel, et qu'il ne croit pas qu'aucun homme apporte, en venant au monde, le droit d'en mépriser un autre. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
C'est peut-être à cela que le marquis doit de valoir mieux que la plupart de ses pareils. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Mais, monsieur, qui croyez aux amis, et qui êtes si gai avec deux mille écus de rente, vous ne prétendez pas, apparemment, faire de comparaison avec un homme qui en a cent mille. (Acte 1, scène 4, DURVAL)
Laissons cela, et revenons au marquis : il est neveu du commandeur, et parent du ministre ; vous savez qu'il doit y avoir de grands changements, et que, pour conserver votre place, vous avez besoin d'un ami puissant ; le commandeur est le vôtre. (Acte 1, scène 4, DE SURMON)
Je croyais trouver ici des parents qui s'aimaient, à qui je serais chère, que j'aimais déjà de tout mon coeur, à qui je brûlais de le prouver ; leur froid accueil m'a glacée : ils ne m'aiment point, et ils se haïssent : concevez-vous cela ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Convenez d'ailleurs que la maison de vos parents est le rendez-vous de tous les plaisirs. (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Une dame retirée du monde où elle avait longtemps vécu, une parente du Marquis de Saint-Bon. (Acte 1, scène 6, JULIE)
Et le Marquis allait voir sa parente ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Et en pareil cas, ne pensez-vous pas, mon oncle, qu'une fille doit obéir à sa mère de préférence ? (Acte 1, scène 6, JULIE)
Assurément ; et, en lui obéissant, vous ne voudriez parler au marquis qu'à cause de cette parente ? (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Pour l'amour de cette même parente, ma pauvre nièce se ferait la violence d'épouser le marquis, si on l'en priait bien fort : le malheur est que votre père, qui ne connaît pas cette parente, a en vue un certain Monsieur Dutour... (Acte 1, scène 6, DE SURMON)
Mon oncle, ayez pitié de votre nièce ; joignez-vous à ma mère, pour empêcher qu'on ne me sacrifie : l'exemple de mes parents me fait trembler. (Acte 1, scène 6, JULIE)
Je sais qu'il m'est contraire, et que je ne devrais avoir l'honneur de vous voir et de vous entretenir que lorsque tout sera convenu entre vos parents et les miens ; mais c'est cet usage, belle Julie, qui fait tant de mauvais mariages : on songe à tout assortir, hors les personnes, et on s'épouse en attendant qu'on se connaisse. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Vous n'avez pas oublié, mademoiselle, que j'ai eu plusieurs fois l'honneur de vous voir à votre couvent ; vivement frappé de vos charmes, je ne vous ai laissé voir que mon respect ; je ne me suis pas permis de vous faire connaître des sentiments que vos parents pourraient ne pas approuver : j'ai cru que l'amour, quelque violent qu'il fût, ne pouvait jamais autoriser la séduction. (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
C'en est assez, monsieur : je souhaite que vous engagiez mes parents à m'ordonner de vous en dire davantage. (Acte 1, scène 9, JULIE)
Non, ma mère : je n'ai rien vu qu'on puisse lui comparer ; et si je ne l'obtiens pas... (Acte 1, scène 11, LE MARQUIS)
Quand on s'aime, comme nous faisons, il est cruel de se séparer... (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
Tout cela est bel et bon, monsieur ; mais, si ma fille n'épouse le marquis, ma résolution est prise, je me sépare de vous. (Acte 1, scène 21, MADAME DURVAL)
Point du tout : les parents de la demoiselle l'ont surpris avec elle hier au soir ; et, comme on lui a proposé une façon de sortir qui n'était pas de son goût, il a déclaré le mariage. (Acte 1, scène 23, DE SURMON)
Mon frère, pouvez-vous donner dans un pareil conte ? (Acte 1, scène 23, DURVAL)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 55 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 11,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	L'ANGLOMANE	6	0	0	0	0	6
2	AMÉNOPHIS	2	1	3	4	2	12
3	BÉVERLEI	2	3	2	0	2	9
4	LES MOEURS DU TEMPS	7	0	0	0	0	7
5	LE MARIAGE DE JULIE	21	0	0	0	0	21
	Total	38	4	5	4	4	55